“Il y a un peu plus de 43 ans, l’anime UFO Robo Grendizer est conçu à l’autre bout du monde, dans une contrée mystérieuse très évoluée qui entretient des liens avec le Soleil. Il débarque contre toute attente en Europe en 1977 ; tel un OVNI, il se crashe en France, se fait récupérer par Antenne 2, Centre télévisuel, avant d’apparaître sur nos écrans un an plus tard, sous une nouvelle identité : Grendizer devient Goldorak, à renfort supplémentaire de références américaines…”. C’est presque la fiction et la réalité qui se rejoignent ici, dans cet article-fleuve et inédit, issu de nos observations, échanges franco-italiens et réflexions. Nous l’offrons à Insula europea pour continuer de célébrer avec nos amis italiens les 40 ans de Goldorak en France.
Les auteurs de UFO Robo Grendizer sont mis à l’honneur ici en tant qu’artistes imprégnés d’une culture et d’une esthétique certaines, notamment occidentale ; s’en sont d’ailleurs revendiqués les poètes et romanciers japonais qui ont pu les inspirer. Des adultes français un peu cultivés tels que les “journalistes de renom” et hommes et femmes d’influence de la fin des années 70 et du début des années 80 auraient pu voir et parler de cela. 40 ans après, nous faisons ce qu’ils n’ont pas pu ou pas su ou pas voulu faire et après tout, n’est-ce pas à nous de le faire ? Le passage obligé pour cela : renouer avec notre “enfant intérieur” sans culpabilité ni honte…
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- Les auteurs de UFO Robo Grendizer sont mis à l’honneur ici en tant qu’artistes imprégnés d’une culture et d’une esthétique certaines, notamment occidentale ; s’en sont d’ailleurs revendiqués les poètes et romanciers japonais qui ont pu les inspirer. Des adultes français un peu cultivés tels que les “journalistes de renom” et hommes et femmes d’influence de la fin des années 70 et du début des années 80 auraient pu voir et parler de cela. 40 ans après, nous faisons ce qu’ils n’ont pas pu ou pas su ou pas voulu faire et après tout, n’est-ce pas à nous de le faire ? Le passage obligé pour cela : renouer avec notre “enfant intérieur” sans culpabilité ni honte…